Après avoir battu les Éléphants de Colèah (3-2) pour le compte de la première journée de la ligue 1 Salam. Ce vendredi,23 octobre 2020 en conférence de presse d’avant match. Organisée par la direction du Hafia FC au siège du Club à Lambangni Nongo Cosa Carrefour . Pascal Baruxakis, l’entraîneur du Hafia FC s’est montré confiant pour cette deuxième journée de la ligue 1 Salam face au Flamme Olympique de Conakry qui est prévu ce samedi, 24 octobre 2020 au stade du 28 septembre de Conakry à 16H.

Pascal Baruxakis, l’entraîneur du Hafia : «C’est dans un bon état d’esprit, qu’on n’a préparé ce match ! »

« Cette année, on n’est dans un très bon état d’esprit. Parce que ça fait très longtemps le Hafia n’a pas gagné son premier match en championnat. Mais cette fois ci, on n’a commencé par une victoire contre les Éléphants de Colèah. C’est vrai que, on n’a gagné mais nous avons eu assez de difficulté sur le plan de complémentarité. Mais je pense que ce match de la première journée en championnat nous a fait du bien, et ça nous a beaucoup aidé pour corriger nos lacunes. Maintenant ce match contre la Flamme, c’est dans un très bon état d’esprit qu’on n’a préparé. Je pense que nous pouvons faire la victoire comme le souhaite la direction du Hafia. En tout cas pour ce match, j’ai confiance à mon groupe … ».
Par contre, l’entraîneur de la Flamme Olympique joue à la méfiance.

Fodé Camus Camara, le coach de la Flamme Olympique : « Hafia c’est un grand club !»

«Le Football est un rapport de force mais quand on s’appuie trop sur ça ,nous allons avoir toute suit le Hafia victorieuse. Parce que le Hafia est un grand club, s’il faut le Hafia est une grande institution.Et ils ont tout les moyens qu’un club professionnel doit avoir. Donc Joue contre le Hafia ça nous permet d’avoir l’expérience. Ce match le Hafia a tout les atouts. Mais nous on ne compte que sur la sérénité, l’engagement, et l’envie d’aller de l’avant. Sinon entre le Hafia et la Flamme il n’y a pas match mais nous allons faire le maximum de nous-mêmes pour avoir les trois points…». A-t-il conclut.