Après le désaveu cinglant subi par le président de la commission électorale de recours, le controversé Moustapha Bokoum, comme un uppercut sur son visage, les cinq (5) frondeurs et leurs petits soutiens, ne sont plus tranquilles. Ils bougent dans tous les sens, au point de s’en prendre à la FIFA directement et de son courrier adressé à la fédération guinéenne de football.
Si les uns s’étonnent de l’authenticité de la lettre de la FIFA, pourtant claire et précise, refoulant la décision de la commission électorale de recours sur les cooptations de trois (3) membres, les autres, dans une diversion totale, s’attaquent sévèrement au secrétaire général de la FGF, Ibrahima Blasco Barry et le président Bouba Sampil. On reprocherait à Blasco Barry de saisir la FIFA par un courrier sur un compromis entre l’actuel président de la FGF et la décision de la commission de recours.
Après un examen profond des juristes de l’instance internationale du football, sur le courrier de la Féguifoot, la FIFA, totalement au dessus de la mêlée, a tranchée en faveur du président Bouba Sampil. Elle invite dans son courrier réponse, la commission électorale et celle de recours à superviser l’assemblée générale élective et de veiller à la procédure électorale dans le respect des règlements de la Féguifoot. La commission électorale de recours ne dispose pas de prérogatives lui permettant d’annuler une décision du comité exécutif de la FGF. Par conséquent, la décision de la commission électorale de recours de la Féguifoot, en date du 24 octobre 2024, annulant la décision du comité exécutif relative à la cooptation des trois membres aux postes laissés vacants, doit être considérée comme nulle et non avenue.
La fin de la récréation étant sifflée, quiconque va à l’encontre de cette décision de la FIFA risquerait d’être sanctionné. Parce qu’il s’agit d’une directive à suivre à la lettre par la commission électorale, mais également par celle de recours, tenue par le vendu et décrié Moustapha Bokoum
