Dans une récente apparition remarquée sur l’émission controversée « Star en ligne » animée par Campbell, la chanteuse guinéenne, Yama Sega, a suscité une vague d’attention sur les réseaux sociaux. Au cours de cette entrevue tendue, la question qui a fait déborder le vase était liée à un supposé incident où elle aurait giflé son beatmaker en studio.

Manifestement surprise et agacée par cette question, la jaguar de la musique guinéenne a répondu avec fermeté : « Quel beatmaker ? On dirait que tu inventes hein toi aussi. Qui vous parlez de quel beatmaker ? Moi je n’ai que trois beatmakers : deux sont en France et le troisième, c’est Pito Qualité. Je ne me suis jamais disputée avec Pito Qualité. » En proie à l’exaspération, elle a décidé de quitter le plateau en direct, laissant l’animateur désorienté.

Cette séquence a déclenché une avalanche de réactions en ligne. Certains ont soutenu la réaction de l’artiste, estimant que l’animateur avait franchi les limites de l’éthique en posant une question potentiellement diffamatoire. Tandis que d’autres l’ont critiquée pour son apparente perte de sang-froid et son manque de professionnalisme.

Cet incident met en lumière les défis auxquels sont confrontés les artistes lorsqu’ils interagissent avec les médias, particulièrement dans un contexte où les émissions cherchent souvent à provoquer des réactions fortes pour alimenter la controverse et augmenter leur audience. Il soulève également des questions sur le rôle des médias dans le respect de la dignité et de l’intégrité des personnalités publiques lors d’interviews publiques.

Source : Gnakry.com